Dans une lettre ouverte, des intellectuels, des militants syndicaux et associatifs congolais pointent les limites des "regrets" exprimés par le roi des Belges en visite au Congo. Pour eux " exprimer des regrets, c’est également annihiler toute chance de questionner certes la Belgique d’hier, mais également la Belgique d’aujourd’hui qui s’est installée dans une relation…